Étude de cas Bien Prévoir : + 30% de leads grâce à une stratégie SEO ciblée

Créé en 2008, Bien Prévoir est l’un des spécialistes français des placements financiers et du conseil en gestion de patrimoine. Empirik accompagne depuis 2015 Bien Prévoir sur ses stratégies SEO et Analytics et depuis quelques mois, Primaliance, une marque nouvellement acquise par le groupe et spécialisée dans la distribution de produits de pierre-papier. Découvrez notre entretien avec Vincent Cudkowicz, CEO des deux entités, qui nous parle de ses enjeux digitaux et de sa collaboration avec les experts Empirik.

 

Résultats

Augmenté 3.5x le trafic

Augmenté 30% leads

Interview

Pouvez-vous nous présenter succinctement les deux marques Bien Prévoir et Primaliance ?

Bien Prévoir est depuis sa création en 2008 un acteur généraliste spécialisé dans la gestion de patrimoine et la distribution de conseils autour des produits financiers. Nous visons en priorité l’assurance vie qui représente un gigantesque marché de 1 800 milliards d’euros d’encours. Avec cette marque, nous fonctionnons depuis le début sur un mode phygital. Nous avons un premier niveau d’acquisition digitale basé sur les réponses à des besoins en produits d’épargne. Dans un deuxième niveau, nos conseillers prennent le relais et, en fonction de la maturité des prospects, adressent des produits financiers qui leur sont adaptés avec une prestation de conseils intégrés. Quant à Primaliance, nous avons acquis la société en juillet 2020. Il s’agit d’un acteur pionnier dans la distribution de produits de pierre-papier : SCPI, OPCI et SCI. La SCPI, le produit le plus connu des trois, représente aujourd’hui un marché de 71 milliards d’euros d’encours. C’est un marché de niche mais il est actuellement en pleine croissance en raison d’une appétence de plus en plus forte des épargnants pour ce type de produit.

Quels sont aujourd’hui les enjeux et défis d’entreprises que vous rencontrez ?

Notre premier enjeu est de digitaliser tous nos process, de A à Z. Mais, attention, il ne s’agit pas de mettre en place un funnel de souscription entièrement autonome. Nous souhaitons conserver la qualité de notre assistance avec des préconisations délivrées tout au long du parcours client par un conseiller humain. Nécessairement, cette digitalisation pose des enjeux CRM majeurs. Dans notre secteur, nous utilisons par exemple des outils pour faire de l’évaluation de patrimoine ou encore du suivi de portefeuilles… Si nous souhaitons entretenir la conversation, adresser le bon message au bon moment à la bonne personne, faire du nurturing, transformer ou réactiver, nous devons être en mesure d’interfacer parfaitement nos outils métiers avec nos outils marketing. Notre deuxième enjeu concerne notre capacité à toucher des intentionnistes qui ont des objectifs d’investissement, et à capter un maximum d’audience possible autour des différents produits que nous proposons.

“Entre 2015 et 2021, sur une période comparable, nous avons multiplié par 3,5 notre trafic organique et augmenté de 30 % notre volume de leads. Une très belle réussite.”

Vincent Cudkowicz, CEO de Bien Prévoir et Primaliance

Que représente aujourd’hui le digital pour le business de vos deux activités ?

D’après moi, entre 70 et 90 % de notre conquête de nouveaux clients se fait via nos plateformes digitales. Le reste concerne l’acquisition par recommandations et bouche-à-oreille. En ce qui concerne la fidélisation des épargnants, c’est un sujet majeur chez nous. Aujourd’hui, nous proposons uniquement une newsletter commune à notre base de données clients. Mais, pour le compte Primaliance, nous sommes en train de travailler actuellement sur un projet de marketing automation avec la création de plusieurs scénarios propulsés par l’outil Hubspot.

Quelle est votre relation avec la data ? Comment l’exploitez-vous ?

Alors, pour commencer, nous ne l’exploitons pas suffisamment (sourires). Nous n’avons pas encore acquis une culture data suffisante. C’est clairement un sujet sur lequel nous devons monter en compétences et adopter à l’avenir les bons réflexes afin d’utiliser la data pour décider, orienter et agir. Nous avons les outils mais pas nécessairement les compétences ni les ressources en interne pour analyser correctement toutes les informations que nous collectons.

Vous travaillez depuis 2015 avec Empirik, qu’appréciez-vous dans votre collaboration ?

Tout d’abord, j’aime l’intérêt que l’agence Empirik manifeste chaque jour pour le métier que nous pratiquons, et qui n’est pas simple. Ils ont véritablement envie de le comprendre. Ça contraste avec certaines agences parisiennes avec lesquelles j’ai dû rompre par le passé et qui, souvent, manquaient d’investissement, ne comprenaient pas nos enjeux et n’étaient pas en quête de trouver des solutions. En plus de cette exigence, Empirik sait faire preuve d’une expertise manifeste sur tous les sujets SEO et Analytics, avec un souci de qualité, de professionnalisme et de bienveillance.

Quels résultats avez-vous obtenus aujourd’hui ?

Je dirais que le premier résultat que nous observons est qualitatif. C’est l’abnégation, la persistance de toute une équipe à affronter une rude concurrence sectorielle pour émerger dans les résultats de recherche. Même si nous ne sommes pas en première position sur tous les sujets, nous arrivons tout de même à tirer notre épingle du jeu face à de gros acteurs qui ont des capacités d’investissement bien supérieures aux nôtres. Avec l’aide d’Empirik, nous avons notamment développé nos actualités financières, nos guides pratiques, nos FAQ qui ont apporté de la légitimité à la marque et de la visibilité dans les SERPs. Nous sommes néanmoins conscients de la fragilité de l’écosystème avec les changements récurrents d’algorithmes de Google. Empirik nous partage justement toute son expertise pour rester dans la course et lutter avec nos moyens pour viser les meilleures positions. Ainsi, entre 2015 et 2021, sur une période comparable, nous avons multiplié par 3,5 notre trafic organique et augmenté de 30 % notre volume de leads. Une très belle réussite.

Sur Primaliance, nous sommes encore en phase de prise en main du compte donc nous n’avons pas suffisamment de recul pour juger les actions entreprises. Dans tous les cas, l’enjeu est d’être l’acteur n°1 sur tous les sujets pierre-papier et de se maintenir parmi les premiers résultats de recherche sur l’ensemble de la gamme de produits et, en particulier, sur le mot-clé « SCPI ». La bataille s’annonce rude.

Quels sont vos prochains défis ?

Comme je l’abordais précédemment, il faut nous aider à intégrer une culture de l’amélioration continue basée sur la data, et ce sur l’ensemble des questions que l’on se pose : quels sont les parcours privilégiés de nos utilisateurs ? Quels sont les points de friction ?

Généralement, nous traitons les sujets UX le temps d’une refonte puis, faute de temps ou par manque de ressources suffisantes, nous les abandonnons. Or, nous devions être constamment dans une logique de compréhension de la data et d’amélioration.

Merci Vincent pour cette interview et pour la confiance renouvelée aux équipes d’Empirik depuis autant d’années.

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